Bénévolat

D’abord formé en réalisation cinématographique, c’est ensuite en travaillant comme directeur photo que j’apprends l’importance de l’image et développe une véritable passion pour la lumière. Fort de ce bagage de mise en scène, c’est aujourd’hui toujours teinté de celle-ci que j’aborde la photographie.

Un beau moment partagé entre bénévoles

À la suite de la pandémie, madame Lyse Morneau, membre du conseil d’administration de AdMare et bénévole à la bibliothèque, s’est trouvée dans l’impossibilité de poursuivre son aide à la communauté.

Alors qu’elle était confinée à la maison, c’est une amie de la famille, Pauline Stouder, qui a pris l’initiative de lui faire ses épiceries.

On ne donne pas pour recevoir, mais Pauline a su trouver le moyen de remercier Lyse pour son implication sociale.

Vraisemblablement, celle pour qui l’amitié est une question de conversation et de connexion partagée rayonne et inspire ses proches ainsi que sa communauté.

Merci Lyse, merci Pauline!

Alphiya est une artiste multidisciplinaire madelinienne.

Lorsqu’on la remercie pour son bénévolat, Alphiya répond qu’elle n’a pas l’impression qu’elle le mérite, car « de toute façon, je ne pouvais pas travailler durant cette période de pandémie! » C’est que l’entraide lui est tout à fait naturelle, et ce, à la fois dans son art, où elle multiplie les collaborations, mais également dans la vie, auprès de son entourage, ses camarades, ses parents, son frère.

Alors, pourquoi ne pas faire l’épicerie pour les personnes de 70 ans et plus?

Elle avoue toutefois que c’est aussi un peu pour tromper l’ennui durant l’isolement causé par la pandémie qu’elle s’est impliquée.

Afin d’aider les autres, il faut d’abord s’aider soi-même et maintenir une certaine emprise sur notre hygiène de vie.

Elle a entrevu le bénévolat comme une manière de se créer une nouvelle routine tout en aidant sa communauté.

Merci Alphiya!

Sophie-Anne est venue s’installer aux Îles-de-la-Madeleine il y a cinq ans.

Pour rencontrer des gens, se faire un réseau et s’intégrer à son nouvel environnement, elle décide de s’impliquer socialement sous forme de bénévolat à la Bibliothèque Jean-Lapierre.

Sa passion pour les livres est contagieuse, et l’étincelle dans ses yeux toujours présente.

Elle aime partager et son implication est telle que sa fille suit maintenant son chemin et donne vie à une nouvelle génération de bénévoles.

Pour cela et pour ta grande générosité, merci!

Natif des Îles, Marc-Olivier est attaché à son milieu. Il aime s’impliquer et participer au développement de sa région comme le démontre bien son implication auprès des comités administratifs du Carrefour jeunesse- emploi des Îles, du Centre de service scolaire des Îles ainsi que de la Fondation Santé de l’Archipel.

Il n’hésitera pas d’ailleurs à plonger tête première dans l’eau glaciale pour une bonne cause, c’est ce qu’il fait pour Vague d’Espoir et le Fonds Francine-Daigle pour les personnes atteintes de cancer et leurs proches.

Il est toujours souriant, attentionné, généreux et son rire est contagieux. Merci!

Marie-Michèle est tout sourire. Quand je l’ai rencontrée, j’ai tout de suite été charmé par son positivisme, son sens de l’humour et son implication sociale.

Étudiante en communication, politique et société à l’Université du Québec à Montréal, cela fait déjà longtemps qu’elle s’engage dans son milieu scolaire et communautaire.

Revenue aux Îles au tout début de la pandémie de COVID-19, elle n’attend pas qu’on lui demande quoi que ce soit, et s’implique aussitôt auprès d’une maison pour aînés en offrant, en autres, de faire des épiceries et de les livrer à domicile.

Elle est depuis tout récemment devenue boursière du Fonds Gérard-D.-Levesque qui récompense des étudiants gaspésiens et madelinots en raison de la qualité de leur dossier scolaire, de leur engagement dans le milieu et de leur persévérance dans le cadre de leurs études. Bravo et merci Marie-Michèle!

C’est armée d’un sourire et d’un rire communicatif, d’un grand cœur et d’une énergie vitale peu commune que Joana Landry s’implique dans sa communauté.

On la connaît beaucoup pour son travail à la Coopérative École Cindy Mae Danse, mais elle ne chôme pas un seul instant dans ses temps libres, où elle s’implique le plus possible dans diverses sphères en tant que bénévole.

Le projet Relais pour la vie, elle le porte avec passion, avec seule motivation que de venir en aide.

Ses atouts de communicatrice, de leader ainsi que sa fougue — son amour profond de la vie — lui ont permis année après année d’impliquer et de sensibiliser la communauté à cette cause. La côtoyer, c’est un peu comme avoir la permission de goûter à sa « potion magique » d’optimisme, d’entraide et de fous rires!

C’est avec un sentiment d’injustice qu’Isabelle se tourne vers le bénévolat.

Après l’arrivée de la COVID-19, elle se retrouve avec un plein salaire, mais aucune charge de travail, les écoles étant fermées temporairement.

Trouvant donc injuste sa situation « privilégiée », elle cherche à redonner aux autres et décide d’embarquer dans le projet d’action bénévole visant à faire des épiceries pour des aînés ou autres personnes en besoin.